San Ramon se niche dans une vallée dans la province de Chanchamayo dans la région de Junin. Avec 7 500 habitants, elle loge à environ 700 mètres d'altitude.
Voici la rue principale (la carretera) et ses fameux mototaxis que les Québécois appellent des touktouk, terme hérité de voyages en Asie.
Ils sont nombreux (environ 700 à San Ramon), pratiques à défaut d'être confortables et bon marché.
Il y a aussi les rues secondaires souvent non pavées. Celle-ci part de notre ''casa'' et c'est notre raccourci pour nous rendre à l'hôtel Shirampari, avec piscine et accès Internet.
Bien pratique quand il fait chaud... et il fait toujours chaud. Toutefois, je n'en ai pas abusé outre mesure, mes après-midi ayant été consacré à mes multiples visites chez le dentiste à La Merced.
Non non, je ne reviens pas sur cet épisode moins glorieux de mon voyage.
Entourée de montagne, la ville, sans être touristique, a tout de même ses attraits locaux.
Non loin de San Ramon, se trouve une petite réserve où coule une chute.
Nous sommes à la saison des pluies, une forte averse nous a même surpris au retour, et les chutes sont nombreuses et spectaculaires.
Deux petites ''guides'' se sont fait une joie de nous accompagner et de nous décrire la flore environnante.
La petite était très coquine, l'ainée (la cousine) plus réservée.
Voici la rue principale (la carretera) et ses fameux mototaxis que les Québécois appellent des touktouk, terme hérité de voyages en Asie.
Ils sont nombreux (environ 700 à San Ramon), pratiques à défaut d'être confortables et bon marché.
Il y a aussi les rues secondaires souvent non pavées. Celle-ci part de notre ''casa'' et c'est notre raccourci pour nous rendre à l'hôtel Shirampari, avec piscine et accès Internet.
Bien pratique quand il fait chaud... et il fait toujours chaud. Toutefois, je n'en ai pas abusé outre mesure, mes après-midi ayant été consacré à mes multiples visites chez le dentiste à La Merced.
Non non, je ne reviens pas sur cet épisode moins glorieux de mon voyage.
Nous sommes à la saison des pluies, une forte averse nous a même surpris au retour, et les chutes sont nombreuses et spectaculaires.
Deux petites ''guides'' se sont fait une joie de nous accompagner et de nous décrire la flore environnante.
La petite était très coquine, l'ainée (la cousine) plus réservée.
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